Visite de travail de Jean Asselborn à Berlin

Le ministre Asselborn était le premier ministre des Affaires étrangères à être officiellement reçu par Frank-Walter Steinmeier, depuis l’entrée en fonction de ce dernier le 17 décembre. Cette invitation témoigne du lien d’amitié profond qui lie aussi bien les deux pays que les deux hommes.

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Jean Asselborn avec le ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne, Frank-Walter Steinmeier

Sur invitation du ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, Frank-Walter Steinmeier, le ministre des Affaires étrangères et européennes du Luxembourg, Jean Asselborn, s’est rendu à Berlin le 20 décembre 2013, pour y avoir une entrevue avec son homologue au Auswärtiges Amt.

Le ministre Asselborn était le premier ministre des Affaires étrangères à être officiellement reçu par Frank-Walter Steinmeier, depuis l’entrée en fonction de ce dernier le 17 décembre. Cette invitation témoigne du lien d’amitié profond qui lie aussi bien les deux pays que les deux hommes.

Les discussions ont tout d’abord permis de faire le point de l’état des relations bilatérales entre les deux pays voisins. Les ministres se sont réjouis de l’excellence de celles-ci et ont abordé plusieurs pistes permettant de renforcer la coopération déjà excellente entre les deux partenaires au niveau des institutions multilatérales tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), l’OTAN et l’Union européenne (UE) sur les questions de politique étrangère, illustrant ainsi le fort soutien de l’approche multilatérale que partagent la République fédérale allemande et le Grand-Duché de Luxembourg, ainsi que l’importance de la lutte commune pour la promotion de valeurs partagées tels que les droits de l’homme et de l’état de droit.

Les ministres ont ensuite passé en revue l’actualité politique européenne et internationale.

Ils ont abordé de manière approfondie les derniers développements au sein de l’Union européenne et se sont livrés à une analyse de la situation en Ukraine. Les ministres ont également salué la décision du président russe, Vladimir Poutine, de gracier entre autres l’opposant Mikhaïl Khodorkovski, ce qui peut constituer un signe positif pour améliorer le dialogue entre l’UE et la Russie.

Ils ont également fait le point sur les perspectives de relance du processus de paix au Moyen-Orient, ainsi que sur l’état de la situation en Syrie et en Iran.

Communiqué par le ministère des Affaires étrangères et européennes

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